Pas de séminaires prévus dans un avenir proche
05.12.2012
L'avenir des réfugiés au Canada
27.02.2013
Quand il ne reste aucune autre option
18.06.2014
Valeur de la citoyenneté canadienne
09.12.2015
Goodbye, 2015...another year gone
07.12.2017
Goodbye, 2017... Did we get it right?
07.12.2018
Goodbye, 2018 - We shall overcome
25.06.2020
Advocacy - thinking ahead, protecting your client's interests
Lorne Waldman LL.B. (Osgoode), LL.M. (Toronto) pratique exclusivement dans le domaine de l'immigration et du droit des réfugiés, et ce, depuis 1979.
M. Waldman est présent dans tous les tribunaux canadiens, y compris la Cour suprême du Canada, la Cour fédérale et la Cour d'appel fédérale, où il a plaidé de nombreuses affaires de premier plan en matière d'immigration et de droit des réfugiés, tels que :
• l'appel avec succès devant la Cour suprême du Canada dans l'arrêt Pushpanathan
• Burns et Rafay, où il a agi à titre de conseiller pour le Sénat de la République d'Italie quand il est intervenu devant la Cour suprême du Canada
• les deux appels Charkaoui, où il a agi pour l'Association du barreau canadien quand il est intervenu devant la Cour suprême du Canada
• Amnesty International dans sa contestation de la désignation des États-Unis comme tiers pays sûr
M. Waldman a participé à la défense de Maher Arar lors de l'enquête publique sur les circonstances de son expulsion des États-Unis vers la Syrie où il a été soumis à la torture. L'enquête publique a conclu qu'il n'y avait absolument aucune preuve que M. Arar était impliqué dans des activités illégales.
Il a agi pour l'Association du Barreau canadien lors des audiences récentes de la Cour suprême dans l'affaire Charkaoui, où la Cour suprême a invalidé les certificats de sécurité. Il est également apparu à l'ABC comme l'un des porte-parole sur les questions de sécurité nationale à des audiences sur l'examen de la législation antiterroriste et a participé à la rédaction des mémoires de l'ABC sur la législation antiterroriste aux comités parlementaires et sénatoriaux.
En août 2007, il a reçu le prix Louis St-Laurent par l'ABC pour sa contribution à la profession juridique.
Il était l'un des quatre avocats du groupe du recours collectif lancé avec succès pour contester les dispositions sur la rétroactivité des règlements qui ont été promulgués pour les travailleurs qualifiés en vertu de la LIPR, le cas Razolzadeh. Le succès du recours collectif a forcé le gouvernement à revenir sur sa politique en matière de rétroactivité ce qui a bénéficié à plus de 100 000 personnes qui cherchaient à entrer au Canada.
Il a également plaidé devant la Cour suprême du Canada. Il a plaidé avec succès l'appel Pushpanathan devant cette juridiction en 1998. Cette affaire, qui a créé un précédent, portait sur l'interprétation des clauses d'exclusion de la Convention des Nations Unies pour les réfugiés. La Cour a accepté l'argument de l'appelante.
Il a représenté le Sénat de la République italienne à titre d'intervenant devant la Cour suprême du Canada dans l'affaire Burns et Rafay.
M. Waldman a été l'un des organisateurs d'une conférence donnée à l'Université d'Ottawa en juin 2006. Cette conférence est à l'origine des principes d'Ottawa sur la lutte antiterroriste et les droits de la personne et droits civils.
Il a été nommé professeur adjoint de droit à la faculté de droit de Osgoode ainsi qu'au Hall Law à la faculté de droit de l'Université d'Ottawa.
M. Waldman a obtenu son diplôme à l'Université de Toronto en 2000.
M. Waldman a comparu fréquemment comme témoin devant la Chambre des communes et du Sénat sur les questions de droit de l'immigration et des réfugiés et est un commentateur recherché sur les questions d'immigration et de réfugiés dans les médias.
Il est l'auteur et l'éditeur de l'ouvrage Immigration Law and Practice, publié chez Butterworth Canada. Cet ouvrage a souvent été cité comme une autorité par la Cour fédérale et la Cour d'appel fédérale ainsi que par la Cour suprême du Canada.